C'est comme un sachet de thé: chacun serait un délicat mélange de pétales de fleurs et d'herbes aromatiques.
Dans l'air, on en percevrait en certaines occasions les effluves.
Dans l'eau l'arôme s'exprimerait sans que la gaze n'aie plus guère d'importance.
Dans l'air, on en percevrait en certaines occasions les effluves.
Dans l'eau l'arôme s'exprimerait sans que la gaze n'aie plus guère d'importance.
Mutisme, silence enfin, tus les vacarme des paroles et de la respiration, silence plein cependant ? Disparition des saccades sèches de l'air au profit du déploiement fluide - une autre sorte de souffle, plus ample, continue, et sans frottements.
RépondreSupprimerJe trouve l'idée intéressante - intrigante même, chatouillante. Je ne suis pas sure de comprendre.
Quant à ta métaphore, comme le sachet, la secouer devant mes yeux n'a servi à rien - il a fallu laisser infuser pour sentir. C'est amusant :)