mercredi 13 avril 2011

Entre la sève profonde et l'écorce













« - Qui es-tu ?
- Peut-être un homme, ou peut-être un songe perdu. »
H. Gougaud

« L'art du guerrier consiste à équilibrer la terreur d'être un homme et la merveille d'être un homme. »
C. Castaneda

10 commentaires:

  1. entre un désherbage et une grelinette13 avril 2011 à 21:02

    ma vue à moi elle est plutôt ambiance terre (avec visites de nombreux vers de terre , pas forcément contents d'avoir été dérangés par cette lumière soudainement aveuglante,mais me rencontrant moi ravie devant cette multitude qui me confirme que ma terre vit bien,)parsemée de multitudes de fleurs toutes aussi champêtres..... ah que l'hiver et ses étendues de neige me paraissent déjà si lointain!s!!
    As tu imaginé qu'à peine rentré de ces contrées enneigées tu pourrais toi aussi t'en détacher rapidement happé par un autre présent!!!!

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  2. Et celle là tu la connais ? : "Pas de cerveau, pas de migraine". Elle est commode pour pas risquer la fracture de cervelle à essayer de comprendre tes citations...
    De toute façon je peux écrire ce que je veux sur ton blog vu que tu publie pas mes commentaires alors... sale fasciste !

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  3. Bon sang mais fais un effort! C'est pas compliqué, ça parle de virilité, de rêve et d'incertitude... C'est pas comme si je m'étais demandé si la liberté était une responsabilité, ou si elle était dissociable de la conscience...
    Faut vraiment que tu forces un peu si tu veux que ta progéniture s'élève du marasme synaptique dans lequel tu te prélasses!

    Et pis je suis pas du tout un naze-i, mais un pur libéral qui défendra sa propriété privée corps et âme contre les intrusions agressives d'individus obscènes, pervers et séditieux.
    En plus t'as tout à fait tort: tu peux écrire ce que tu veux, juste si ça correspond pas à ce que JE veux ça ira pas sur mon blog.

    Et si tu recommences je te pirate et écris des trucs intelligents ou des compliments sur moi avec ton pseudo alors gaffe.

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  4. C'est déjà pas mal de boulot avec le présent, alors j'évite de me préoccuper des futurs présent possibles... qui effectivement seront quelque chose d'actuellement inimaginable!
    Peut-être alors que le Jojo serait une espèce de lombric de la société... Dont le rôle primordial et essentiel serait de vitaliser le monde par l'offrande de ses déjections, après avoir ingurgité les résidus de digestion des organismes "supérieurs"...
    Ahah je l'ai cassé après tes réflexions sarcastiques, qui surmontent le défi d'être à la fois simplistes et incohérentes. Ça lui apprendra.

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  5. la jarrdinière dans l'âme20 avril 2011 à 08:35

    toujours le regard happé par cette verdure foisonnante qui ne demande qu'à prospérer ,par cette diversité sans cesse renouvellée de la morphogenèse végétale,tu me permets de lever les yeux vers cette multitude de nuages qui n'ont que faire de la loi de la réplique ,libres dans la forme ,la position et la direction qu'ils empruntent....et cet oiseau de glace qui nous toise de son bec acéré n'est-il pas aussi le roi de son territoire!!!

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  6. "Le sol, que je ne touche pas si souvent..."
    Mes yeux sont happés par les subtilités et la puissance de ce monde en variations de trois couleurs: blanc, bleu, noir. Immense soleil lundi, tempête aujourd'hui, tâchant de n'en pas perdre une miette malgré mes pieds qui courent dans tous les sens au gré des journées folles, forcément des fois ça se termine en roulades...
    Alors je suis bien loin d'arriver à me rappeler la réalité de ces explosions de couleurs vives!

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  7. Les poètes d'hier ne sont plus les poètes d'aujourd'hui.
    N'est-ce pas la beauté des mots qui voyagent d'une contrée à l'autre qui élève notre âme à un ailleurs inconnu ?

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  8. Mais hier conserve-t-il quelque chose d'aujourd'hui?
    Je crois également que la distance accentue l'éclat du partage, et que la pensée est façonnée par l'ailleurs offert au regard.
    Pour prendre soin de mes mots, je monte quelques jours manger du chocolat au pays des ours.

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  9. hier ne sera plus aujourd'hui mais la présence d'hier peut être la présence d'aujourd'hui...
    l'éclat du partage , je m'en suis nourrie ce week end au salon du livre à Villeurbanne :un regard partagé,une discussion animée et une embrassade généreuse pour se rappeler que le coeur vibre au-delà de toute contrainte physique ou mentale....
    et veille à ce que les ours ne te prennent pas pour du chocolat!!!!!

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  10. quelle joie avons nous ressenti quand ce charmant pic- épeiche ( merci Camille de l'avoir nominé!!) et sa damoiselle...se sont mis à taper régulièrement aux carreaux de nos nombreuses fenêtres, du matin très tôt au soir....;un oiseau en demande de compagnie??? puis ils ont découvert les joies des Vélux, je tape, je glisse , je chie .... idem sur les deux voitures!!!! et au bout de qques jours tu imagines même pas l'état de ces cibles ,;car en fait il marque ainsi son territoire!!!! il n"y a pas que le sterne qui pourrait devenir calamiteux !!!! et quand le soir fourbue , je me glisse dans un bain chaud ,, le ciel parait toujours très nuageux à travers le Vélux :et les étoiles encore plus lointaines

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