Le monde sort au matin de son cocon de brumes – les derniers filaments restent accrochés aux crêtes des vagues.
Le soir je pars chanter mes au-revoirs : aux rondeurs de la toundra, aux inquiétudes et aux flamboiements du ciel, à la vitalité apaisante de la mer, à l'abri douillet des cabanes.
Au matin, tout est effacé.
Salut copain,
RépondreSupprimeret merci pour ta jolie carte postale. C'est bien de chanter les au-revoir... tu as vécu une expérience exceptionnelle copain, il faut maintenant traduire tout cela au reste de ton monde. Donte ouori, bi api brozer. A vite alors. Jojo
Traduire, pas facile...
RépondreSupprimerEssayer de partager le ressenti, je m'y appliquerais.
A très bientôt!