Rentrer, c'est pas si facile.
Retrouver tout et rien, se recogner aux angles d'une réalité qui m'est si peu hospitalière, au sein de laquelle mon imagination peine à m'esquisser un dessein...
Alors je fais d'une lâcheté une promenade, et avant d'être tout à fait revenu, je repars. Dans ces contrées où l'hiver souffle en douce brise, et où le thé à la menthe brûle la langue.
Je finirai d'arriver plus tard, voilà.


